Le blog de vassilia-x-stories

Hôtel des Sources

par Estonius

 

bi stamp

 

Toute ressemblance avec un authentique hôtel qui s'appellerait Hôtel des Sources (ça doit bien exister) n'a strictement aucune importance !)

 

Evy a 30 ans. Pas trente et un ou trente-deux, non juste trente. Et elle les a aujourd'hui !

 

J'entends le chœur des lecteurs : "Encore une histoire d'anniversaire !"

 

Oui certes ! Mais les variations sur le sujet ne sont pas complètement épuisées.

 

Présentons un petit peu Evy : C'est une personne assez réservée, la peau claire, brune aux cheveux mi-longs et légèrement bouclés, les yeux verts, un visage que je qualifierais d'intéressant, un joli sourire. Plutôt grande, et plus en seins qu'en fesses.

 

Son compagnon, c'est Armand, un homme très dans la moyenne, ni beau ni laid, ni gros ni maigre. Ce n'est pas un étalon, mais il se débrouille et il a toujours plein d'idées. Hélas les idées restent souvent dans les cartons de ses neurones. Il est souvent difficile à ce couple de faire ce qu'il veut chez lui. Si les enfants ne sont pas un vrai problème, (un emploi du temps ça se gère) il faut savoir qu'ils hébergent la mère d'Evy, devenue semi-handicapée suite à une maladie. La bonne femme remercia le couple à sa façon en se révélant collante, curieuse, omniprésente et la reine des empêcheuses de tourner en rond.

 

Quand elle apprit qu'ils ne rentreraient pas de la nuit, elle fit une crise :

 

- Je ne vois vraiment pas pourquoi vous ne fêteriez pas cet anniversaire à la maison… et patati et patata…

 

Crise de larme ! Ce n'était pas la première fois et d'habitude de guerre lasse, ils cédaient la mort dans l'âme. Pas cette fois ! Tout avait été organisé. Le livreur de pizza viendrait livrer le dîner aux gosses et à la belle-mère. La voisine passerait vers 22 heures pour voir si tout allait bien, et repasserait le lendemain matin avant de partir au boulot ! Ils avaient emmené leur portables mais avaient bien précisé à la petite famille qu'il était très mal vu de s'en servir à l'opéra, et que toute façon dans le métro ça ne passait pas. Exit donc les portables, on ne les rebrancherait que le lendemain.

 

Bien évidemment, Evy ignorait tout du programme que lui réservait Armand, elle adorait les surprises et disait ne rien vouloir savoir, mais par des recoupements divers et par intuition, elle savait qu'il y aurait au moins trois moments forts, le restaurant, l'opéra, et sans doute une séance de radada qui pour une fois romprait avec la monotonie habituelle.

 

Ils avaient pris chacun de leur côté leur après-midi et avaient convenu de se retrouver vers 14 heures dans le quartier de la Bastille.

 

Vers 11 h 30 Armand appelle Evy à son bureau !

 

- Chérie j'ai un mini problème, 14 heures ça fait un peu juste, on se retrouve à 15 heures, ça va ? Tu ne seras pas fâchée ?

- Non, non ! Tu m'as fait peur, je croyais que tu serais bloqué toute l'après-midi !

- Non, non, mais c'est de ma faute, je me suis mal organisé !

- Pour une heure, ce n'est pas un problème, j'irais lécher les vitrines ! Répondit Evy

- J'ai une autre idée : je vais te donner l'adresse de l'hôtel où j'ai réservé, et tu m'y attendras !

- Non, ça ne me plait pas de trop ! Une heure c'est vite passé, je vais me débrouiller !

- En fait, j'aimerais vraiment que tu m'attendes à l'hôtel ! Tu ne le regretteras pas, je t'assure ! Reprit Armand en essayant d'adopter le ton le plus convaincant possible.

- Bon, bon ! Céda alors notre héroïne.

- Essaie d'y être un quart d'heures/vingt minutes avant moi !

- D'accord chéri ! Je crois deviner ce qui va m'arriver !

 

" Ça m'étonnerait " se dit Armand in petto

 

A 14 heures 30. Evy se présente à la réception de l'Hôtel des Sources.

 

- On a réservé une chambre, Monsieur et Madame Martin...

- Ah, oui c'est la 24. au deuxième à gauche, attendez, on m'a remis une enveloppe et un paquet pour vous.

 

Evy prend la missive et le sac contenant un paquet cadeau ! Elle sourit en voyant le nom sur le sac " Elisa, Lingerie Fine " ! Pour l'effet de surprise c'est un peu raté… à moins que le sac soit un leurre. Elle monte, elle découvre la chambre, elle s'installe, elle teste le lit, il a l'air très douillet. Elle ouvre la fenêtre qui donne sur une cour, ça à l'air calme. Une petite visite à la salle de bain qu'elle décide de ne l'utiliser que tout à l'heure… Et un petit pipi. Et tandis qu'elle s'assoit sur la cuvette après avoir baissé sa culotte, et que les premières gouttes de son petit pipi doré font floc-floc dans la cuvette, elle décachette l'enveloppe, en extrait la feuille et entreprend de la lire :

 

Chérie ! A nouveau je te souhaite un bon anniversaire, et je t'offre dans le paquet qu'a dû te remettre le réceptionniste mon premier cadeau, il y en aura d'autres, j'ai envie de te gâter, aujourd'hui. Ce cadeau je veux que tu l'essaies et que tu m'attendes avec. J'aimerais bien que quand je te rejoindrais à 15 heures tu sois installée sur le lit avec tout cela ! La journée ne fait que commencer. Grosse bises. Armand.

 

Elle a fini son pipi, elle a fini de lire. Miracle de la simultanéité ! Elle se relève, mais au lieu de remonter culotte et pantalon, elle retire tout cela ! Puis enlève le haut ! La voici toute nue. Elle contemple l'image de son corps que lui renvoie le miroir de la salle de bain ! Pas trop à se plaindre ! Il y a pire, il y a mieux aussi, c'est la vie !

 

Elle ouvre, fébrile, le paquet, c'est un ensemble culotte et soutien-gorge. La couleur est d'un joli bleu gris chatoyant, le soutien-gorge est très décolleté et orné de fines dentelles, la culotte sans être un string est assez étroite devant. Evy regrette de ne pas s'être rasée ne serait-ce que partiellement les poils pubiens.

 

Elle s'observe un peu dans le miroir, ça va, son homme a bien choisi. Elle ne sera pas obligée de lui faire la petite comédie : "c'est joli mais il n'y avait pas une autre couleur, ou alors une autre forme ? On peut changer dit ? Tu ne seras pas fâché, hein ?" Non, il est très bien cet ensemble, la journée commence bien. Elle observe son bracelet montre, il est 14 heures 55. Elle va chercher son walkman dans son sac, se le branche et s'assoit sur son lit, dégustant la musique de Mozart, son compositeur préféré, Mozart dont, s'il elle a tout compris, elle devrait aller applaudir Don Giovanni dans quelques heures, juste en face, à l'opéra Bastille.

 

15 heures ! Armand devrait arriver !

15 heures 05 : Toujours pas là !

15 heures 10 : il a dû être retardé, mais pourquoi n'envoie-t-il pas un message ?

15 heures 15 : une clé dans la porte, elle s'ouvre et…

 

…Et Evy pousse un cri !

 

Tout va alors très vite : Qui est ce type qui rentre dans sa chambre avec une clé ? Ils sont complètement cons à la réception, il loue deux fois la même chambre !

 

- Sortez d'ici c'est ma chambre ! Parvient à articuler Evy

- Mais pas du tout c'est la mienne, je l'ai réservé depuis hier ! Répond l'inconnu.

- Sortez d'ici ! Dites à la réception qu'ils se sont trompés !

- Mais enfin, que faites-vous dans ma chambre et sur mon lit en plus ?

- Mais vous êtes malade, je vais appeler la réception, ça ne va pas se passer comme ça !

- T'avais demandé à ce qu'il mette une fille dans la chambre ? Demande alors l'inconnu en se retournant !

 

Horreur, il y en a un deuxième, Evy s'empare du téléphone, elle jette un coup d'œil au second intrus, celui-ci s'est carrément revêtue d'une cagoule. Son corps tremble, et puis le déclic, elle repose le téléphone ! Ça va soudain beaucoup mieux !

 

- C'est ça alors ! Reprend l'intrus (allez, on va l'appeler Max, ce sera plus facile !) Tu avais demandé une petite pute pour me faire plaisir ! Elle est mignonne dis donc, ils nous l'ont bien choisi ! Comment tu t'appelles ?

- Qu'est-ce que ça peut te foutre, gros lard ? Répond Evy

- Tu vas nous parler gentiment, t'es là pour t'occuper de nous, non ?

- Mais non, je vous dis que vous vous trompez de chambre !

 

Max approche son bras de l'épaule d'Evy et la lui caresse, il descend ensuite sa main vers le bras, puis la remonte, atteint à nouveau l'épaule et s'approche de la naissance des seins. Evy d'abord paralysée par ce contact ne réagit qu'au bout de quelques secondes :

 

- Tu vas retirer tes salles pattes de moi, vieux dégoûtant !

- Hum, elle est très douce ! Informe Max à l'adresse de son copain.

- Il ne parle pas beaucoup votre copain ! S'amuse Evy !

- Evidement, il est sourd et muet, mais moi je le comprends bien, et en ce moment il a envie de te caresser les seins.

- Il risque d'avoir du mal !

 

Et en disant cela Evy, se retourne sur le ventre, et réalise alors son erreur, en bloquant l'accès à sa poitrine, elle est en train d'offrir ses fesses. Ça ne rate pas, la culotte est dégagée, les fesses sont pelotées !

 

- Ne vous gênez surtout pas, les mecs ! Proteste-t-elle.

 

L'un des intrus se met à lui embrasser les fesses, elle se demande lequel c'est, puis réalise que ce ne peut être que Max sinon elle sentirait sur sa peau le contact de la cagoule de l'autre énergumène.

 

- C'est pas un peu fini, oui ?

- T'as plus l'air de vouloir prévenir la réception ? C'est bizarre, ça ! Reprend Max !

- Cherche pas à comprendre, gros plein de soupe !

- Mais c'est qu'elle est mal polie la petite dame, mais c'est vrai que je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max ! Mais n'empêche que ça mérite une fessée, ça ? Hein ! Pablo !

 

Pablo acquiesce ! Max n'attendait que ça et décoche une puissante claque sur les fesses de la pauvre Evy qui pousse un hurlement ! Max réarme son bras ! Mais Pablo l'en empêche ! Max ne comprend plus ! Pablo lui désigne le mur !

 

- Quoi le mur ! Ah ! C'est parce qu'elle gueule de trop ! Bon on va la bâillonner !

- Sûrement pas j'ai horreur de ça ! Proteste Evy !

 

Alors Evy sent la main de Pablo qui lui appuie sur la tête, elle a le nez et la bouche dans l'oreiller, si elle crie ses hurlements seront étouffés. Du coup, l'autre refrappe, mais il y va quand même moins fort. Evy s'applique à encaisser les coups sans trop broncher, mais même si elle ne déteste pas ce genre de chose, cela lui fait mal et lui arrache quelques larmes aux coins de ses beaux yeux. Les coups s'arrêtent. Des doigts dégrafent le soutien-gorge. Des mains cherchent à atteindre les seins qui sont plaqués contre les couvertures du lit. Ce geste ne plait pas à Evy qui préfère se retourner et finir d'enlever elle-même son soutien. Max n'en peut plus, il prend les seins, les caresse, les soupèse, les malaxe, puis jette son dévolu sur le téton droit qu'il embrasse goulûment. Pablo ne voulant pas être en reste fait de même avec le gauche. Evy est très sensible à ce genre de caresses, des ondes de plaisir lui parcourent le corps, elle sent son sexe s'humidifier.

 

Pablo fait un signe à Max, et lui désigne sa braguette. Max sort alors sa bite !

 

- Tu vas me sucer la queue, salope !

- J'espère qu'elle est propre ! Répond alors Evy sans se laisser démonter !

- Pour l'instant elle est propre, quand je t'aurais enculé ce sera peut-être différent, hi ! Hi ! Hi !

 

Il a l'air content de sa sortie, le Max !

 

- Faudrait que je veuille, connard ! Tu ne crois pas que je vais te laisser tout faire !

 

Max est interloqué, il ne doit pas avoir l'habitude de se faire contrer, il jette un regard implorant vers la face évidemment inexpressive de Pablo. Evy s'en voulant (un tout petit peu) d'avoir perturbé ce pauvre biquet, lui attrape la bite par la main, constate que l'organe est dans un état sanitaire satisfaisant et se le fourre dans la bouche ! Max renonce à comprendre les états d'âme et les hésitations d'Evy et pour l'instant, il est là enchanté, ravi !

 

- Tu ne me jutes pas dans la bouche ! Préviens Evy !

- T'aimes pas le sperme ?

- Tu me promets de ne pas jouir dans ma bouche, sinon je te suce avec une capote !

- Comme les putes ?

- Qu'est-ce que tu as contre les putes ? Tu es bien content de les trouver, d'ailleurs en ce moment je suis ta pute !

- Bon allez suce-moi, j'ai de l'éducation, je sais me tenir !

 

Pablo s'est aussi débraguetté et approche sa queue du visage d'Evy toujours occupée à sucer Max. Elle passe alors sa langue alternativement sur les deux glands, puis suce l'un puis l'autre.

 

L'excitation d'Evy atteint son paroxysme, elle n'en peut plus !

 

- Vous avez des capotes ?

 

Pablo en sort deux et les pose sur la table de nuit !

 

- Je croyais qu'il était sourd ? S'étonne Evy

- Bien sûr qu'il est sourd, mais il lit sur les lèvres !

- Lesquelles ?

 

Max renonce à répliquer, se met un préservatif et se place entre les jambes d'Evy prêt à la pénétrer.

 

- Attend ! Lui dit la jeune femme !

 

Elle se retourne et se place alors en levrette. Ça ne gêne pas notre Max qui adore cette position, il avance sa bite.

 

- Pas là ! Dans le cul ! Encule-moi !

- Ben tu voulais pas tout à l'heure ?

- Ben ça ne t'arrive jamais à toi de changer d'avis ? Mais lubrifie-moi un peu d'abord ! Elle est quand même un peu grosse ta queue !

 

Il est content Max qu'on lui dise qu'il en a une grosse ! Du coup il se met à lui lécher le troufignon avec bonne humeur. Et pendant ces préparatifs, Pablo s'est placé de l'autre côté face au visage d'Evy et lui donne sa bite à sucer. Max se sent prêt, il écarte l'anus de la jeune femme, force un peu, ça a du mal à entrer.

 

- Vas-y rentre d'un coup ! L'encourage Evy !

 

Il force, ça y est c'est entré, il force encore, Evy l'aide en dilatant au maximum ses chairs, encore un coup, ça y est la bite est dans le cul, il la pistonne doucement puis de plus en plus sauvagement.

 

- Vas-y, vas-y Max ! Tu me défonce bien le cul, défonce-la ta pute, défonce-la ta salope !

 

Un cri étouffé, presque un grognement, Max vient de jouir et se retire !

 

- Ah ! Ben mon salaud tu m'as enculé comme un chef ! Un petit peu rapide quand même à mon goût !

 

Max devient dubitatif, incapable de faire la part des choses entre les félicitations et la critique, puis décide que le compliment l'emporte ! Evy se retourne, lâche la bite de Pablo et récupère un peu. Son anus est tout de même un peu douloureux. Mais son excitation est toujours là ! Elle aimerait à présent qu'on la suce, ou alors qu'on la caresse partout pendant qu'elle se masturbe ! Elle cherche Pablo des yeux, il a disparu de la circulation, à moins qu'il ne soit dans la salle de bain, d'ailleurs elle entend de l'eau couler, puis s'arrêter, mais c'était Max qui maintenant revient près d'elle. Il a l'air satisfait, l'animal !

 

Nouveau bruit de clé dans la serrure ! C'est quoi cette fois-ci !

 

- Qui c'est ce mec ? Demande Armand qui vient de pénétrer dans la chambre !

 

Evy réprime une envie de fou rire nerveux et parvient à répondre :

 

- C'est Max !

- Et c'est qui Max ?

- J'en sais rien !

- Et qu'est-ce qu'il fait ici ?

- Oh, rien de spécial, il croyait que c'était sa chambre, alors je l'ai sucé et il m'a enculé !

- Mais t'es une salope !

- Ça, ça doit être vrai !

- Une salope et une pute !

- Viens la voir ta pute, elle est toute excitée ! Minaude Evy

- Et lui, qu'est-ce qu'on va en faire !

- Je sais pas, on va prévenir la police ? A moins que tu ais une autre idée !

- Voyons, monsieur Max, vous savez que ce n'est pas bien du tout d'abuser des jeunes femmes. Donc ou alors on porte plainte, on alors on vous punit !

- Vous êtes vraiment frappadingues tous les deux ! S'esclaffe Max qui a soudain du mal à suivre.

- Bon alors d'accord on va te punir, d'abord tu l'as bien mérité et ensuite ça va nous exciter ! Reprend Evy !

- Pas trop fort, alors ? Tempère Max

- C'est vrai que côté insonorisation ce n'est pas bien terrible ici ! Remarque Evy ! Il va falloir trouver une punition silencieuse.

 

Max s'arc-boute sur une petite table, fesses tendues et attend. Armand balance une première claque sur le cul de l'autre. Une deuxième, une troisième, tout cela de façon assez modérée. Un coup d'œil vers Evy, le spectacle lui plait et comme Max a l'air d'apprécier, tout le monde est donc content, on peut continuer. Armand se prend au jeu et tape de plus en plus fort.

 

- Eh vas-y mollo ! Prévient Max !

 

Armand s'arrête. Max se retourne et regarde Evy qui se masturbe, il la détaille sans aucune vergogne et du coup se remet à bander, et comme cet état lui plait il se donne une légère masturbation d'accompagnement. Puis pris d'une profonde inspiration il demande à Evy !

 

- C'est votre mari, alors ?

- Ben, oui on n'a pas fait les présentations dans les règles…

- Ce ne serait pas lui qu'il faudrait punir ! Non ?

- Ah oui ! Et pourquoi donc ?

- Pourquoi donc, parce qu'il aurait été là à l'heure je ne serais pas venu vous embêter !

- Et comment tu peux savoir qu'il n'était pas à l'heure, pauvre pignouf ?

- Heu !

- A mon avis, vous n'avez pas assez répété ! Ce n'est pas très au point votre numéro !

- Mais c'est exprès, il fallait que tu comprennes tout de suite que Pablo c'était moi, sinon tu aurais paniqué ! Explique Armand

- Sinon je n'aurais pas niqué, c'est le terme exact ! En tous cas, j'ai bien envie de vous punir d'être aussi nuls l'un que l'autre ! Rigole Evy !

- Alors d'accord on la laisse décider c'est son anniversaire après tout, hein Max ?

- Ah oui, c'est vrai, alors bon anniversaire, M'dame !

- Merci Max, mais dis-moi, Armand, ton copain Max, il va accepter tous mes fantasmes, tu lui as parlé de tout !

- Ne t'inquiète pas ! Répond son mari

 

Et plutôt que d'ajouter des commentaires, il pose alors sa main sur la bite de Max, qui du coup retire la sienne. Les yeux d'Evy sont écarquillés. Ainsi Armand a voulu lui offrir son fantasme, enfin l'un de ses fantasmes, celui qu'elle a tellement élaboré qu'elle a même envisagé d'en faire une nouvelle érotique. Le thème est à la fois très simple est très spécial. Un inconnu la baise, puis on se rend compte que l'inconnu est bisexuel, et tout cela se termine dans un triangle infernal ou tout le monde baise tout le monde. Armand avait voulu y ajouter une touche d'humour en se cagoulant et en recrutant cet escogriffe un peu lourdingue mais pas méchant. Et finalement le fantasme avait fonctionné, mais là c'était autre chose… D'autant que maintenant Armand avait à son tour sorti sa bite et se faisait branler par Max. Deux hommes dont son mari étaient donc en train de se masturber mutuellement à quelques mètres d'elle. Evy frottait sa main sur sa chatte, passant à chaque fois sur son clitoris érigé tandis que l'autre main pinçait avec force son téton durci !

 

- Continuez, dit-elle, surtout ne jouissez pas tout de suite !

 

Armand fait signe que pour lui il n'y a pas de problème ! Max a l'air moins sûr de lui et semble prêt de l'explosion. Ce type qui a joui dans le cul d'Evy il y a tout juste un quart d'heure aurait-il une quéquette à répétition ?

 

- Tu voudrais sucer Armand ? Lui demande Evy

- Pas de problèmes !

 

Et joignant le geste à la parole, il s'agenouille devant Armand et entreprend de lui sucer la queue ! Le mari d'Evy semble surpris de la délicatesse avec laquelle Max accomplit sa fellation, il suce en fait mieux qu'Evy mais il se gardera bien de le dire à cette dernière ! La situation particulière alliée au savoir-faire de Max fait monter la jouissance d'Armand qui trouve vite la parade !

 

- On change !

 

Et comme deux complices qui auraient fait cela toute leur vie, nos deux compères entamèrent un joli mouvement parfaitement synchronisé : Max se relève, Armand s'accroupit, et à son tour embouche la grosse verge ! Armand s'en délecte, il ne se livre même pas à de petits mouvements de lèvres et de langues préliminaires, non c'est tout carrément dans la bouche, enfin tout, disons tout ce qu'il peut y placer.

 

- Je ne vais pas tenir longtemps ! Préviens Max au bout de quelques minutes de succions abondantes.

 

bise72.jpg

 

Alors Armand se relève, court vers la table de nuit, il jette un coup d'œil à Evy, qui a maintenant les yeux fermés, elle est en plein dans ses fantasmes et ne les rouvre que de temps à autre vérifiant qu'ils s'accomplissent bien, ici devant elle !

 

Armand prend un préservatif, le tend à Max, puis se plie en deux sur le lit ouvrant et offrant son cul !

 

- C'est la première fois que j'encule un mec devant sa femme ! Croit intéressant de préciser Max !

 

Le gland pénètre facilement, sa bite est tellement bandée que la pénétration en est facilité, un centimètre, deux centimètres, toute la bite !

 

- Aie !

- Comment ça aïe ? Je t'ai fait mal ?

- Un peu !

- Je vais te faire ça tout doucement comme un artiste !

 

Alors Max entame un va-et-vient très lent !

 

- T'inquiètes pas t'es si serré qu'on peut faire comme-ça !

 

C'est tout Max, ça il faut qu'il commente tout ce qu'il fait !

 

- Je vais accélérer !

- Vas-y !

 

Ce n'est plus une accélération, c'est un passage brutal à la quatrième vitesse. Arnaud est en train de jouir du cul tandis que l'autre le pilonne.

 

- Baise-le, je me retiens un peu ! Gueule Evy !

- Je viens, je viens répond Max !

 

Evy pousse alors un hurlement, puis bizarrement se retourne et attrape une crise nerveuse. Max a joui et comme tout à l'heure part dans la salle de bains se livrer à quelques ablutions. Armand n'a pas éjaculé, mais il n'est pas pressé, il caresse tendrement son épouse :

 

- On se calme, on se calme !

- Je suis folle :

- Mais non, tu n'es pas folle ! C'était bien ? Ça t'a plus ?

- Oui, mais tu as fait tout cela pour moi ?

- Ben oui, c'est un cadeau !

- Tu ne t'es quand même pas fait enculer pour moi ?

- Si, mais ça n'a pas été une corvée, tu sais très bien que j'en ai toujours eu envie !

- Ah bon, t'étais puceau du cul ? Interroge Max qui sort à ce moment-là de la salle de bain !

 

Et tout le monde d'éclater de rire.

 

 

Estonius Mars 2002

Dim 3 mar 2002 Aucun commentaire