Le blog de vassilia-x-stories

Jeux de bureaux

par  Eddy

d'après une idée originale de Cédric

 

BiteFlag

 

Cette histoire commence sur mon lieu de travail. Je suis salarié dans une boite qui fait du développement informatique. Pour les besoins d'un projet, il fallait créer une nouvelle structure : un groupe de six personnes. N'étant sur rien d'urgent je fus parmi les sollicités et me retrouvais à l'autre bout de Paris avec une augmentation substantielle de mon temps de transport. Passons, je n'écris pas pour me plaindre mais pour vous conter une petite historiette érotique.

 

Je ne vous présenterais pas mes cinq collègues, puisque seulement deux d'entre eux interviendront dans ce récit…

 

Ah oui ? Moi ? Et bien moi, je me prénomme Pascal, la quarantaine, quelconque, brun (du moins pour ce qu'il en reste) moustaches, très légère bedaine. Sexuellement, je me classe dans les libéraux non pratiquants, je fantasme beaucoup et sur beaucoup de choses. La chose m'obsède mais sans m'angoisser. Je suis marié, et ma vie de couple est à peu près normale.

 

Jocelyn s'était présenté à moi de façon bizarre :

 

- Tu peux me tutoyer, mais tu m'appelle Jocelyn, pas Jo ni Jos ou Jojo, je suis allergique !

 

Bel homme, un peu typée mais je n'en ai jamais su l'origine, le teint mate, les yeux clairs, habillé avec une certaine recherche, la voix très douce. Les filles du bureau le dévoraient des yeux, mais il n'en profitait pas. Il passait des heures à ne rien dire, plongé dans son travail, et devenait volubile le temps d'une pause-café pour ensuite s'enfermer à nouveau dans son mutisme.

 

Ce jour-là j'étais avec lui en tête-à-tête au restaurant d'entreprise, je remarquais alors qu'il avait été chez le coiffeur, comme une andouille je le lui fis remarquer, on passe des fois son temps à sortir des réflexions complètement inutiles :

 

- Tiens, tu as été chez le coiffeur !

 

Il m'accorde un sourire, comme si ma réplique lui faisait réellement plaisir !

 

- M'en parle pas, j'ai poiroté une heure et demi, d'habitude j'apporte un bouquin. Je l'avais oublié et il n'y avait que des revues de merde…

- Moi c'est ma femme qui me les coupe...

 

Il s'en fout complètement de ce que je lui réponds, il continue son idée

 

- Tiens, tu ne sais pas ce que j'ai lu ? Un truc sur la masturbation… Et tu sais ce qu'ils disaient ? Que c'était dangereux, qu'il ne fallait pas en abuser… Non mais on va où comme ça ? Cent ans en arrière !

 

Oh la la ! En voici un sujet scabreux ! Je ne suis jamais très à l'aise quand on parle sexe… Pour moi ce sujet est important mais personnel. Vite répondre une banalité, mais en allant dans son sens, puis changer de sujet… je n'aurais jamais dû lui parler de son coiffeur !

 

- Il y aura toujours de gens rétrogrades, faut faire avec, malheureusement…

 

C'est tout ce que j'avais trouvé, il n'était pas évident que ça suffirait à ranger le sujet. En fait pas du tout, il rebondit et de la façon la plus gênante possible !

 

- T'as raison, c'est pas eux qui vont m'empêcher de me branler !

 

Je lui fais un sourire, signifiant par-là que j'ai bien reçu son message, mais que je ne souhaite pas continuer. Lui, si…

 

- J'adore ça me branler ! Comme beaucoup de mecs, mais ils ne l'avouent jamais ! On vit dans l'hypocrisie continuelle !

- C'est un peu vrai ! 

 

J'ai répondu ça machinalement, je n'aurais jamais dû, il s'enfonce dans la brèche.

 

- Toi aussi, t'aime te branler ?

 

Bien sûr, j'aurais pu à ce moment-là lui intimer mon intention de ne pas continuer sur le sujet, ou alors j'aurais pu mentir, lui disant qu'étant marié, j'avais moins de raisons de le faire qu'étant jeune homme… Mais sans doute l'histoire ne se serait alors pas déroulée.

 

- Oui, de temps en temps ! Comme tout le monde…

- Euh ça t'embête de parler de ça ?

 

Remarque habile, parce qu'en fait, il est trop tard, et il le sait bien, et comme je vais répondre non, il n'aura plus aucun scrupule pour emmener la conversation encore plus loin.

 

- Non, enfin pas trop !

- Je me doutais bien que tu étais un mec ouvert !

 

Merci pour le cirage !

 

- Tu sais ce qui m'excite moi quand je me branle ?

 

Je m'attends au pire !

 

- Non mais je sens que tu as envie de me le dire !

- Ma bite !

- Hein ?

- Oui le spectacle de ma propre bite, je trouve qu'une bite c'est super joli, surtout la mienne !

 

Ah ! Assimiler tout ça, pour la première fois, je me demande si le gars n'est pas homo ! Mais ça ne tient pas debout, il ne va pas me draguer quand même, avec le look qu'il a, il peut trouver des mecs mille fois mieux que moi !

 

- Tu peux me passer le sel ! Répondis-je par diversion.

- Il est à côté de toi, et tu l'as déjà salé ton truc !

- Alors passe-moi le poivre !

- Tiens, et toi quand tu te masturbe, tu aimes bien te regarder la bite ?

 

Je ne sais pas si vous vous rendez compte du genre de question ? Mais pris dans l'engrenage je réponds.

 

- Oui, mais je pense que ça fait partie d'un tout. La masturbation, c'est simple, mais pas tant que ça !

- Ouais, c'est dommage que je ne sois pas contorsionniste !

- Parce que ?

- Parce que je me la sucerais !

- Ah !

 

De mieux en mieux !

 

- Tu n'as jamais eu envie de te sucer la bite, toi ?

- De toute façon, je ne suis pas assez souple !

- Tu aimes ça, voir des bites ?

- Non mais où est-ce que tu veux m'emmener, là ?

- Je ne veux t'emmener nulle part. Ce qui est dommage c'est qu'à chaque fois que l'on parle sexe, on croit que tout ce qu'on dit est une suite de sous-entendu ! On parle bien de sport ou de politique étrangère, et pourtant quand on y réfléchit, on n'y connaît rien !

- Bon écoute, je voudrais que tu comprennes que je suis hétéro, cela dit, je ne suis pas homophobe, mais chacun son truc !

 

S'il n'a pas compris c'est qu'il est lourd !

 

- Juste une question et après on en parle plus !

- Ouais ?

- Quand tu vois une bite dans un film, ou sur une photo, ça t'est déjà arrivé de dire : " Putain quelle belle bite ! "

- Oui !

- Tu vois ! A l'occasion je te montrerais la mienne !

- Une seule question, tu avais dit !

- Mais ce n'est pas une question… on va boire un café ?

 

Cette conversation bizarroïde avait provoqué chez moi deux phénomènes assez étranges, voire contradictoires. D''une part je m'efforçais d'éviter Jocelyn et d'aller seul avec lui à la cantine, de même j'attendais qu'il soit sorti des toilettes pour y aller à mon tour. (nous avons des toilettes intérieures) Mais d'autre part ses propos m'avaient troublé, quelque part ils m'interpellaient, mais je m'interdisais par ma conduite de me donner les moyens de franchir un pas que je me disais ne pas vouloir franchir.

 

C'est le surlendemain en fin d'après-midi que les choses s'accélérèrent. Il commençait à se faire tard, et d'ailleurs à part dans notre bureau l'étage était désert. Trois de nos collègues étaient partis, ne restait que Corinne, Jocelyn et moi-même.

Corinne est une petite femme d'environ 35/40 ans, mignonne mais sans plus, souriante, elle a les cheveux frisées et de jolis yeux bleus. Elle n'est pas très causante mais parfois s'amuse à dire une grosse connerie, sans doute histoire de détendre l'atmosphère.

Je suis fatigué, et je ne fais plus rien de bon, je décide alors de me préparer à partir. Je vois alors Jocelyn qui se lève de son siège et se dirige vers les toilettes. Il pile en plein chemin, m'interpelle :

 

- J'ai envie de pisser ! Tu viens me la tenir !

 

Sursaut de surprise de Corinne !

 

- Non, merci ! Répondis-je simplement comme on répond à une question idiote !

- C'est dommage ça m'aurait permis de te la montrer !

 

C'est pas vrai, il recommence son cirque, et devant Corinne en plus ! Laquelle Corinne y va de son grain de sel !

 

- Ben, Jocelyn ! C'est la fatigue ?

- Mais, non je voulais juste lui montrer ma quéquette !

- Et tu crois vraiment qu'il a envie de la voir ta quéquette ?

- Bien sûr ! Hein Pascal ? M'interpelle-t-il.

 

Je m'apprêtais à répondre une vacherie définitive qui aurait stoppé complètement l'affaire, mais c'est sans compter sur Corinne qui complètement lancée demande :

 

- Et d'abord qu'est qu'elle a d'exceptionnelle ta quéquette ?

- Elle n'a rien d'exceptionnelle, elle est jolie, c'est tout !

- Et qu'est-ce qu'elle a de plus jolie que les autres ?

- Mais c'est parce que c'est la mienne ! Répondit-il en rigolant !

- Montre-la-moi, je vais te dire, moi si elle si belle que ça ! Suggère Corinne le plus sérieusement du monde.

 

Bien joué ! Du coup le Jocelyn donne l'impression de commencer à débrancher !

 

- C'est bien ça les mecs, toujours à vous vanter de vos bites, mais au pied du mur il n'y a plus personne !

 

Et elle se retourne vers sa machine ! J'ai cru alors l'échange terminé. Mais non ! Après avoir hésité l'espace d'une seconde sur la conduite à tenir, il revient assez lourdement à la charge et s'adressant à Corinne :

 

- Ne me met pas au défi !

- Je ne te mets pas au défi, je ne t'ai rien demandé, tu nous propose un truc et puis tu te dégonfle, c'est tes propres défis que tu es incapable d'assumer !

- Mais Corinne, ce n'est pas à toi que je m'adressais ! Proteste-t-il.

- Jocelyn !

- Oui ?

- Si une femme te demande de te montre ta bite, tu fais quoi !

- Ben, je lui montre ! Pardi !

- Alors, qu'est-ce que tu attends ?

 

Alors Jocelyn dézipe sa braguette, farfouille dedans et en sort sa quéquette toute molle d'émotion. C'est une quéquette bien classique, peut-être plus grosse que la moyenne et assez sombre de peau !

 

- Ben voilà ! C'est un zizi, il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat ! On peut continuer à bosser maintenant…

 

J'ai l'impression que Corinne prépare quelque chose, je la connais mal mais je ne pense pas que son objectif était d'humilier notre collègue, et alors que celui-ci rangeait déjà son sexe, elle l'interpelle de nouveau !

 

- J'aimerais bien la voir autrement qu'au repos !

 

Et avant que Jocelyn ait pu faire ou dire quoique ce soit, Corinne lui met la main à la braguette, et ressort la queue qui du coup à ce contact commence déjà à se raffermir.

 

- Hummm ! C'est vrai qu'elle est belle !

 

Elle se met à la caresser, la masturbe un petit peu, très vite Jocelyn bande, c'est un très bel engin qui est maintenant exhibé.

 

Je me demande ce que je fais dans tout cela, je sens que je vais lancer un traditionnel " bon, je vous laisse ! " et disparaître. Le seul problème c'est que tout cela m'a fait bander comme pas possible, et que je n'arrive pas à me décider à partir. D'autant qu'après s'être enquit de la propreté du membre viril de Jocelyn, Corinne se l'est carrément foutu dans le bec et entame une fellation en règle ! Mon dieu que dois-je faire ?

 

- Tu peux venir Pascal, quand y en a pour deux, y en a pour trois ! Me dit Corinne relâchant quelques instants sa fellation et me sauvant ainsi la mise.

 

Ah ! Si Corinne veut me sucer, ça change tout, je ne vais pas refuser ça quand même ! Me voici près d'eux, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je sors ma propre bite complètement raide, et pour être encore plus à l'aise, je descends un peu mon pantalon et mon slip. Evidemment à côté de la merveille voisine, elle fait un peu figure de candidate suppléante, mais que voulez-vous, on fait ce qu'on peut ! La main de Corinne vient m'asticoter un peu les couilles, avant de la prendre à son tour dans sa bouche ! Elle me fait une sorte de pompage buccale, les lèvres très appuyées, c'est très excitant puis fait pénétrer la verge un peu plus avant pour permettre à sa langue d'entamer une vraie danse autour ! Pas mal, la technique !

 

- Qu'est-ce qu'elles sont bonnes vos bites les gars !

 

Mais je sens bien qu'elle a une préférence pour celle de Jocelyn, c'est elle qui a toutes ses faveurs !

 

- J'ai rarement vu un truc aussi doux, tiens, caresse-la pour te rendre compte ?

 

Hein ? Corinne veut que je caresse la queue de Jocelyn ? Pas bien, non ? Mais je n'ai même pas le temps de réfléchir ou d'avoir des états d'âme, Corinne m'a pris la main et la pose juste là où il faut !

 

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C'est donc dans cette circonstance que je "toucha" (comme disent les Québécois) une autre bite que la mienne, j'avoue que ce n'était pas désagréable à caresser ! Et même que ça me faisait bander !

 

- Elle est douce ! Hein ?

 

J'acquiesçais de la tête avec un petit sourire gêné !

 

- Non, il faut que tu le dises, que tu le dises avec des mots ! C'est important ça va te libérer ! Reprit Corinne.

- Tu veux que je dise quoi ?

- Je veux que tu me répondes !

- Répondre à quoi ?

- Bon on rejoue la scène : un, deux, trois : elle est douce, hein ?

- Oui !

- Mieux que ça !

- Elle est douce !

- Tu sais j'adore ça voir des mecs se caresser, c'est pas si souvent que j'en ai l'occasion !

 

Jocelyn me caresse à son tour, ça ne me dérange pas plus que ça, ça ne m'excite pas plus que ça non plus !

 

- Mais il y a une chose qui m'excite encore plus ! Reprend Corinne, c'est de voir deux mecs se sucer !

 

Il manquait plus que ça ! Un ange passe ! Et c'est Jocelyn qui finit par se lancer, sans doute pour gommer l'effet désastreux de ses atermoiements de tout à l'heure :

 

- Moi je veux bien te sucer ! Me propose-t-il.

 

Je dois manquer de réparties, ce soir, mais c'est encore une fois Corinne qui intervient… brave fille elle va me sauver de cette situation embarrassante :

 

- Je préfèrerais le contraire si ça ne vous dérange pas !

 

Au secours ! Et puis d'abord, pourquoi le contraire ? Je balbutie je ne sais pas quoi, je n'arrive pas à articuler quelque chose de sensé !

 

- Qu'est-ce qu'il raconte ? Demande Jocelyn.

- Je ne sais pas ! Répond Corinne. C'est sans doute l'émotion !

 

Je veux fuir, vite un prétexte ! J'arrive enfin à articuler quelque chose de clair :

 

- Non, je ne peux pas !

- Pourquoi ça n'a rien de difficile ! Me dit Corinne d'un air canaille.

- Mais je ne l'ai jamais fait !

- Il y a un début à tout !

- Je ne peux pas !

- Ça tu l'as déjà dit, on va t'aider, et puis si tu veux, tu auras une récompense.

- Une récompense ?

- Oui si tu veux, je te fais une pipe ! A fond !

- Toute nue !

- Si tu veux ! Allez assez causé, à genoux, maintenant et suce !

 

Je ne sais pas comment je me suis retrouvé en position, j'ai maintenant ce délicieux morceau de chair dans la bouche et comme si je l'avais toujours fait, je tourbillonne et je gigote ma langue autour, je suçote le gland, je mouille et j'aspire la hampe, j'excite le frein, j'embrasse le méat, et je bande ! Mon dieu que je bande ! Il y a combien de temps que je n'avais pas bandé comme ça !

 

- Laisse-m'en un peu ! Espèce de glouton ! 

 

Elle me retire la bite et suce à son tour ! Je commençais à bien m'amuser, je suis impatient de la reprendre !

 

- Tu y prends goût mon salaud, hein ! Dis-le que tu aimes sucer des bites !

- Ce n'est pas désagréable !

- Non, dis le mieux que ça !

 

Elle m'énerve mais je rentre dans son jeu !

 

- Ben, oui, tu vois, j'aime ça, sucer des bites ! 

 

Il y donc des choses qui sont plus dures à admettre qu'à pratiquer ! La nature humaine est bizarre dès fois. Me voici en train de regloutonner la quéquette de Jocelyn ! Que c'est bon et ma propre bite qui est prête à éclater…

 

Quand soudain…

 

Cracracrac !

 

Horreur ! La porte n'était même pas verrouillée ! Il ne devrait plus y avoir personne à cette heure-ci ! On est en train de faire un truc qui peut nous faire virer de la boite. Une femme en blouse bleue entre, c'est la femme de ménage !

 

- Ne t'arrête pas, on se connaît, c'est une copine, on s'est fait des gros câlins l'autre soir ! Reprend Corinne ! Viens Fernanda, viens voir le spectacle !

- Oh ! mon dieu ! S'esclaffe cette dernière. Des "zomos" !

- Mais non ce ne sont pas des "zomos ", ce sont des bisexuels !

- Bisexouels ? Des petits cochons oui !

- Et puis on s'en fout, c'est excitant !

- Humm c'est vrai, c'est excitant, il en a une belle pine, celoui-là !

 

Evidement celui-là c'est l'autre ! 

 

- Zé peut goûter !

- Pascal, laisse-lui goûter !

 

J'ai toujours été très poli et laisse la place à Fernanda ! Sa blouse a déjà volé, elle n'a plus grand chose en haut, et coince la bite de Jocelyn entre ses deux gros seins lui faisant une véritable branlette espagnole ce qui est un comble pour une portugaise ! A chaque remontée de la bite entre ses globes elle l'asticote du bout de la langue. Le Jocelyn ne parvenant plus à se contrôler, la prévient mais un peu tard qu'il va décharger et notre petite femme de ménage reçoit tout en plein visage !

 

Elle ramasse le sperme et s'en étale sur les seins qui prennent alors un aspect brillant très agréable visuellement, je lorgne dessus, et elle s'en aperçoit évidemment !

 

- Tu veux faire pareil ?

 

Bien sûr que je veux faire pareil ! Me voici coincé entre les seins de la belle ! Et tandis qu'elle me ramone, je sens une main sur mes fesses, ce n'est pas celle de Jocelyn qui épuisé est allé s'asseoir, le doigt de Corinne est à présent rentré carrément dans mon cul et me le masse d'une façon bizarre mais qui n'a rien de désagréable. Je ne tarde pas à éclater à mon tour !

 

- Et maintenant qui c'est qui s'occupe de moi ? Demande Fernanda !

 

Corinne la prend par la main, j'ai la tête qui tourne, trop de choses à la fois, je fais couler de l'eau pour me laver le sexe et pour m'en asperger le visage, je ressors à moitié groggy, Fernanda et Corinne sont sur la moquette en soixante-neuf en train de se bouffer le minou C'est du délire ! Je m'approche de Jocelyn, en plein coup de pompe !

 

- Ça va, mon vieux ? Me demande-t-il.

 

Je m'étonne de cette soudaine grande familiarité !

 

- C'est dingue !

- Ça t'a plus, on dirait !

- Ben oui, je ne vais pas te mentir ! Mais, je m'attendais pas à ce que ça aille jusque-là ! 

- Ben tu vois ! Seulement il y a un petit problème ! Précise-t-il.

- Un problème ?

- Je te dois la vérité !

- La vérité !

- C'était une mise en scène ! L'autre fois à la cantine, j'ai senti ton trouble, j'en ai parlé avec Corinne. Elle m'a alors dit que des mecs comme ça, il y en avait plein, mais que seule une femme pouvait débloquer la situation. Alors je l'ai mise au défi d'y arriver ! Elle m'a affirmé qu'elle en était parfaitement capable ! C'est une sorcière, cette nana !

- Tout était combiné alors ?

- Mais non pas tout, et sûrement pas l'arrivée de la femme de ménage. Non juste le début, je devais te demander devant elle de me la tenir, mais c'est tout !

- Ouais, bon je n'ai plus qu'à prendre ça du bon côté, ça aura au moins été instructif et pas désagréable !

 

Je ne sais pas ce que m'a répondu Jocelyn mais ça a été couvert par le cri de jouissance de Fernanda suivi presque aussitôt par celui de Corinne…

 

Bon, cette fois je vais partir pour de vrai ! 

 

- Où tu vas ? Demande Corinne !

- Je rentre... pour de vrai cette fois.

- Euh, tu ne pourrais pas téléphoner chez toi et dire que tu fais nocturne, on irait bouffer ensemble et après je vous emmène chez moi, j'aimerais bien que vous me sautiez tous les deux et surtout j'aimerais bien vous voir aller encore plus loin tous les deux !

- Ça aussi c'est combiné d'avance ? Mais pas de bol, je ne marche plus et de toute façon ça ne me tente pas du tout !

- C'est malin ! Mais pourquoi tu lui as dit ? Rouspète alors Corinne en regardant Jocelyn.

- Je ne sais pas, ça me gênait cette situation ! Répond-il 

- Ça te gênait ou tu avais peur de perdre ton pari ?

 

Oh, là, ils vont s'engueuler ces deux-là, manquait plus que ça ! Et puis c'est quoi cette histoire de pari ? C'est nouveau ça encore ?

 

- Je n'y ai même pas pensé ! 

- Menteur ! Tu devrais faire attention, tu ne sais pas que je suis une sorcière ?

- Si justement !

- Et tu sais ce qu'elle va faire la sorcière !

- Ne surestime pas tes possibilités !

- Regarde ! Répond simplement Corinne ! Puis elle m'interpelle " Pascal ! " alors que j'allais actionner l'ouverture de la porte

- Oui ?

 

Elle me regarde dans les yeux ! Elle sourit, elle est craquante !

 

- Maintenant tu sais la suite, c'est un pari, d'accord ?

- Ben, oui !

- Je voudrais simplement que tu m'aides à le gagner !

- Alors d'accord !

 

Eddy Stokien (Décembre 2002)

 

 

FIN

Mar 3 déc 2002 Aucun commentaire