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Martine la soubrette 2 – Les carreaux par Eddy
Et, voilà, je l’avais voulu cette situation ! Moi, l’ancien cadre informatique, bien noté et toujours impeccable, j’étais en train de nettoyer la vitrerie d’un couple de bourgeois, travesti en tenue de soubrette, et sans culotte pour couronner le tout. C’est fatigant de faire les vitres et inintéressant au possible, et il y en avait des vitres et des miroirs dans cette maison !
Vers 10 heures j’eus un petit coup de pompe, j’aurai bien mangé un petit en-cas mais ignorais comment gérer ici ce genre de choses. Tant pis, j’attendrais midi, et puis il fallait que je satisfasse un besoin bien naturel… J’allais donc à la recherche des toilettes. Je supposais qu’il s’agissait de cet endroit derrière cette porte. Oui, mais voilà, elle était fermée à clé ! Tant pis j’irais me soulager dans la salle de bain. Mais cette dernière était également bouclée. De véritables obsédés de la serrure ces gens-là ! Restait la cuisine et son évier providentiel. Gisèle y était en train d’arranger un immense bouquet de glaïeul.
– Excusez-moi madame ?
Pas de réponse ! Elle le faisait exprès, bien sûr !
– Excusez-moi madame ?
– Dis donc petite pute, tu ne vois pas que tu me déranges ?
– C’est que pour les toilettes…
– Et que veux-tu faire aux toilettes ?
– Euh ! Ben… Uriner ?
– Pour te servir des toilettes, il faudra venir nous le demander, mais pour pisser, tu n’en as pas besoin !
– Mais comment dois-je faire ?
– Tu te retiens !
– Me retenir !
– Oui te retenir ! Et maintenant arrête de m’emmerder et retourne à ton travail, et que je ne trouve pas en train de pisser dans la cuisine derrière mon dos. Sinon c’est la porte et tu iras jouer
à la soubrette ailleurs, petite tapette !
– Bien madame !
Je m’aperçois que j’ai donc oublié de parler avec mes employeurs de tout un tas de détails, par exemple, il faudra bien que j’aie accès à la salle de bain…Je repars continuer à astiquer les vitres, en me forçant à me retenir. Je ne me fais aucune illusion ceci est un jeu, et je suis aussi là pour ça !
Au bout d’une heure, la situation devient intenable, j’imagine quelques astuces pour m’en sortir quand Gisèle entre dans la pièce !
– Madame je suis désolé, mais je n’arrive plus à me retenir !
– Te retenir de quoi ?
Elle se fout de ma gueule ! Je craque :
– Je veux bien être un jouet, mais il faut quand même que le joujou fasse pipi, sinon le joujou il fout le camp…
Je n’en reviens pas d’une telle audace. Elle peut me jeter, maintenant tout de suite. Je m’en fous, il y a des limites tout de même !
– On se rebelle ?
– La question n’est pas là ! Si vous ne me dites pas où pisser, je pisse par terre et je me casse !
– OK ! Casse-toi !
La décision est brutale, mais tant pis, une vacherie comme ça le premier jour, ça veut dire que l’expérience va être intenable, je veux bien m’amuser, mais pas à n’importe quel prix ! Bien sûr ces crétins ont fermé ma chambre à clé ! Je hurle.
– Si on ne me file pas la clé, j’enfonce la porte !
Gisèle s’approche, elle a l’air hors d’elle. Elle me jette la clé qui passe à deux doigts de mon visage ! Tandis que précipitamment je mets quelques affaires dans mon sac, j’entends des bruits de clés. Elle a donc ouvert les toilettes. Mais c’est peut-être pour son usage personnel. Je jette un œil. Non, elles sont bien ouvertes sans personne dedans. Je me précipite. Mon dieu que ça fait du bien ! Ça veut dire aussi que Gisèle n’essaiera pas de faire le premier pas pour éviter cette rapide rupture de contrat. Le fait de pisser m’a calmé. J’ai été idiot de m’emporter. Sans doute attendait-elle une autre réaction de ma part, que je fasse sur moi ou dans je ne sais quel récipient. Je m’en veux. J’aurais volontiers prolongé cette expérience, mais il faut croire que j’en suis incapable. L’humiliation est terrible, après le divorce, et le licenciement, un autre échec ! Même pas capable d’être un esclave. J’en chialerais ! Alors humiliation pour humiliation je tente un va-tout, je cherche Gisèle, je la retrouve dans le salon et je m’agenouille comme une larve et je baisse la tête :
– Pardon Madame !
– Casses-toi !
Non, ce n’est pas possible qu’elle me repousse, elle joue, elle va me demander de revenir au dernier moment ! Mais pas cela ! Pas l’humiliation de l’avoir supplié en vain ! Je ne bouge pas ! Il ne se passe plus rien, je reprends espoir et lève timidement la tête. Elle me crache alors en pleine figure !
– Punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez, mais gardez-moi !
Et je me précipite sur ses pieds, j’aurais voulu lui lécher les bottes, mais elle est très prosaïquement en petits chaussons. Ça ne fait rien, je lui lèche les chevilles, je n’arrête pas, elle ne dit rien, le temps travaille pour moi.
– Casse-toi, connard !
Aie, tout mon univers s’écroule. L’estocade ! L’insulte et au masculin en plus, m’ôtant même ma condition de travesti. Je me relève. Je suis mal, je vais pour partir. J’ai maintenant pris mon sac, je déverrouille la porte d’entrée. Toute cette plaisanterie va se terminer dans quelques secondes. Il faudra ensuite que je gère le retour à la maison…
– Au pied !
Je n’ai pas compris tout de suite que l’ordre s’adressait à moi ! Elle me rappelle donc ! Un truc de dernière minute à me dire sans doute avant de me jeter comme un vieux kleenex.
– Suis-moi !
Non je n’y crois plus, j’hésite, déjà elle s’éloigne dans l’appartement. Elle se retourne.
– Je t’ai dit de me suivre ! A quatre pattes, comme un toutou !
Elle me garde donc, je la suis dans la position qu’elle m’indique. Arrivée dans la grande salle à manger, elle pose les mains sur la table, me tournant le dos, puis retire la jupe de son tailleur. Elle a le cul relativement large.
– Baisse ma culotte !
– Oui, Maîtresse !
Je lui baisse sa culotte jusqu’en bas, je m’arrange pour laisser traîner quelques doigts afin de lui frôler la peau de mes caresses.
– Va chercher un verre, un grand verre, ou plutôt un bol.
Je m’exécute et reviens avec l’objet demandé, elle le prend, le place sous sa chatte et se met à pisser dedans. En voilà une drôle d’idée ! Ses chiottes sont bouchées ou quoi ?
– Tiens bois ! M’ordonne-t-elle en me tendant le bol à moitié rempli.
Je n’ai rien contre l’uro, mais ne l’ai jamais pratiqué de cette façon. Peu importe sa pisse est délicieuse
Gisèle se retourne et s’écarte alors ses deux gros globes afin de bien dégager son trou du cul. Je devine ce qu’elle va me demander !
– Nettoie-moi le trou !
Je me dis que ce ne sera pas une corvée, néanmoins en m’approchant, je constate que tout n’est pas nickel chez cette bourgeoise. Ou bien elle a oublié de se laver ce matin, ou alors son papier toilette n’est pas de très bonne qualité. L’odeur est loin d’être insoutenable, mais elle est forte, je finis par m’y faire. Je réalise à présent qu’en fait cette petite fantaisie était probablement programmée. Encore une façon de m’humilier. Je m’en fous, je prends sur moi, je lèche les petites taches marrons. L’épreuve est plus facile que ce que j’aurais pu imaginer. Je lui remplis de cul de ma salive, j’essaie de pénétrer au plus profond avec ma petite langue. Le résultat de tout cela c’est que ça me fait bander !
– Tu m’as bien léché !
– Merci Maîtresse !
– Mais qui t’a autorisé à bander ?
– C’est le fait de vous lécher maîtresse
– Ça te fait bander de me nettoyer mon trou du cul plein de merde !
– Il n’y avait pas tant que ça, Maîtresse !
– Non pas aujourd’hui…. Branle-toi, ça va te calmer !
– Ici ? Maîtresse ?
– Non pas ici ! Sur le toit ! Ou devant la fenêtre ! Bien sûr que c’est ici, triple idiot, et dépêche-toi !
J’obéis et je me masturbe, j’ai un peu peur d’être en panne, mais non ça va venir, je le sens
– Il me faudrait un kleenex !
– Et puis quoi d’autre encore, Tu jouis par terre et tu nettoies avec ta langue !
Je n’aime pas cela. Contrairement à certaines personnes qui peuvent jouir plusieurs fois de suite sans aucun palier, chez moi la jouissance est immédiatement suivie d’une chute brutale de la libido, qui dure deux ou trois minutes et qui rend le genre de chose qu’elle me propose particulièrement désagréable. Du coup je débande, ça me panique, elle va s’en apercevoir !
– Ben alors ? T’as des problèmes de quéquette ?
Je ne sais plus où me foutre !
– Bon, laisse tomber ta saucisse ! Elle est complètement hors service. Demain on prendra rendez-vous pour toi chez le sexologue. Pour l’instant suis-moi, on va voir comment tu as travaillé…
Je suis rouge de honte mais j’arrive à balbutier :
– C’est que ce n’est pas fini ! Maîtresse !
– Je ne veux pas voir comment c’est fait quand c’est fini, je veux voir comment c’est fait quand c’est commencé…
Elle se dirige vers la grande fenêtre du salon, s’approche des vitres. C’est vrai qu’ils ne sont pas mal nettoyés mes vitres, pas une trace…
– C’est quoi ce travail ?
– J’ai fait de mon mieux, maîtresse !
– Et bien il n’y a pas de quoi être fier !
Et la voilà qui crache sur les vitres !
– Tu vois bien qu’ils ne sont pas propres tes carreaux, une pétasse a craché dessus !
Elle attend que je lui dise quelque chose, mais je ne sais vraiment pas quoi dire.
– Et d’abord, c’est qui la pétasse qui a craché sur les carreaux ?
Ignorant quelle genre de réponse elle souhaite entendre j’essaie :
– Je ne sais pas maîtresse, ça a dû se produire quand nous étions à côté.
Elle me gifle !
– Et pourquoi tu mens ? Tu étais là ! Je veux que tu me dises le nom de la pétasse qui a craché sur ces carreaux, sinon je t’en retourne une autre !
– C’est vous Maîtresse…
Le bras se lève, je l’évite et je crie :
– C’est vous maîtresse, mais vous n’êtes pas une pétasse !
– Ah ! Enfin une réponse intelligente ! Va nettoyer immédiatement ces saloperies !
Je m’empare d’un chiffon
– C’est pourquoi foutre ce chiffon ?
– Ben, pour essuyer, maîtresse !
– Lâche ça !
Je le lâche, j’ai décidé d’être obéissant !
– Nettoie avec ta langue !
– Mais maîtresse…
– Tu discutes mes ordres, maintenant ?
– Mais c’est que…
– C’est que quoi ? Ce n’est que de la salive, je n’ai pas la tuberculose à ce que je sache. C’est la même salive dont tu te régales quand tu roules un patin à quelqu’un !
– Ce n’est pas une question de salive, Maîtresse, mais il y a de l’ammoniaque dans ce produit…
– De l’ammoniaque, mais en voilà une drôle d’idée…
Elle s’en va en marmonnant, je lui ai encore tenu tête. Mais pouvais-je faire autrement ? Je ne suis quand même pas là pour jouer avec ma santé !
Et la voilà qui revient. A tous les coups elle a encore inventé un truc pour m’humilier.
Gisèle ouvre son chemisier et fait jaillir ses gros nichons de son soutien-gorge.
Je rêve !
Elle se met à cracher plusieurs fois sur ses seins qui se retrouvent rapidement gluants de salive.
– Maintenant lèche ! Il n’y a pas d’ammoniac sur mes nichons.
Incroyable qu’elle me demande une chose pareille, d’un côté cet aspect gluant qui n’est pas spécialement ragoutant, de l’autre ses jolis seins. Je ferme les yeux et je lèche… et je bande.
Je me remets à faire ses vitres et à essuyer ses conneries. Il faudrait que je m’isole pour faire le point. D’un côté, je subis humiliation sur humiliation, mais de l’autre, c’est aussi ce que je cherchais… Et à l’instant présent je suis incapable de dire si cette situation me satisfait ou non !
Le temps passe, il va être 14 heures, elle ne m’a pas appelé pour déjeuner. Je ne réclame pas, je n’ai pas très faim, mais j’ai compris maintenant son jeu… ce soir j’aurais à manger, par contre j’aurais bien bu un verre d’eau. Mais je peux me retenir, la maison est pleine de coins, de recoins, de placards, de tiroirs, demain je planquerais une bouteille d’eau et même peut-être quelques morceaux de pain ou des gâteaux secs.
C’est quand même dingue, j’en suis là, moi le brillant cadre informatique, en train de finir de refaire les vitres qu’une bourgeoise a maculées de son crachat. J’ai la bite à moitié en panne se baladant librement sous une jupette, et je suis en train de faire des plans pour ne pas tomber d’inanition. Il faudra aussi que je prévoie une bouteille vide, je pisserais dedans !
L’arrivé de Gisèle interrompt mes rêveries !
– Alors ? Ce ne sont pas les cadences infernales à ce que je vois ? J’ai ma mère qui va passer me dire bonjour, tu iras lui ouvrir et tu prépareras le café ? Tu sais faire ? J’espère !
– Bien sûr ! Maîtresse !
– Comment ça bien sûr ? Comme si c’était évident, surtout venant de la part d’un impuissant !
Ah ! La salope, elle va trop loin, l’adrénaline monte, j’avale ma salive pour me calmer !
– Faudra-t-il que je me change ?
– Te changer pourquoi faire ? Non !
– Je dois rester sans culotte ?
– Absolument !
– Bien ! Maîtresse !
Une demi-heure après la maman qui se prénomme Bénédicte sonnait à la porte. Je vais ouvrir. Elle est très classe, la soixantaine, cheveux argentés, habillée d’un tailleur gris très BCBG. Pas un mot. Elle me regarde et pouffe de rire ! Toujours agréable !
Les deux femmes s’installent dans le salon, et je vais préparer le café. Ces gens sont pleins de frics et ils ne sont même pas foutus d’avoir une cafetière un peu moderne. Bon dieu ! Ça coûte 20 euros une cafetière ! Non au lieu de cela il faut faire le café avec un vieux machin à pression. Et le café est en grain, il faut le moudre. Je perds un temps fou à faire tout cela ! Je vais me faire engueuler, je le sens, d’autant que je ne sais pas trop comment le doser !
– Le café on va bientôt l’avoir, ou il faut qu’on descende au bistrot ?
– C’est presque prêt, maîtresse !
Il faut encore que je dégote un plateau. On ne me dit rien dans cette maison. Par chance j’en trouve un. Et le sucre ? il faut que je trouve le sucre ! Jamais je n’aurais imaginé que faire un simple café serait un tel calvaire. Ça y est… je trouve le sucre, mais je ne vais pas emmener le paquet comme ça ! Ça ne doit pas se faire, il faut maintenant trouver une sucrière, je vais craquer.
– Bon alors ?
Tant pis pour la sucrière j’apporte ça comme ça, je sers les tasses, je verse le café, je me rends compte que j’ai oublié les petites cuillères, je marmonne un mot d’excuse et m’enfuit dans la cuisine à la recherche des précieux ustensiles sous les éclats de rire des deux femmes qui n’en peuvent plus. Je reviens
– C’est quoi ce truc ?
– Une soubrette, c’est le dernier modèle à la mode !
– Mais c’est un mec !
– Non, enfin si, enfin, ce n’est pas une femme !
– Mais qu’est-ce que t’as fait d’Huguette ?
– On en avait marre, on l’a laissé partir !
– Et tu l’as trouvé comment ton dernier modèle à la mode ?
– C’est mon mari sur Internet…
– On trouve décidément n’importe quoi sur Internet !
– Et tu penses le garder ?
– Non ! Il est trop nul !
La salope, elle m’a fait reprendre espoir, pour mieux m’humilier, je vais finir par craquer pour de bon !
– Il ne sait rien faire alors ?
– Non ! Quoique si, il lèche très bien le cul !
Enfin quelque chose qui ressemble à un compliment. Gisèle sait très bien souffler le froid et le chaud. Mais elle reprend :
– Remarque, ce doit être un pervers, je devais avoir le cul dégueulasse, d’ailleurs ça l’a fait bander trente secondes.
– Oh ! Tu devrais peut-être lui faire dessus !
– C’est prévu, mais pour l’instant je n’ai pas envie, et toi ?
– Je peux essayer si tu veux.
– Allez Martine, couche-toi par terre, maman va te chier dessus.
– Je… je … je reste habillé ?
– Evidemment conasse, elle va te chier sur la gueule.
J’ai le cul de la vieille bourge au-dessus de mon visage, son anus s’ouvre, une petite crotte finit par apparaître, grossit, prend la forme d’un petit boudin, se détache et m’atterrit sur la tronche, un deuxième suit, puis plus rien. La femme se relève, ne s’essuie pas et ramasse les deux étrons, elle en pose un sur la table et lèche un peu le second, puis le passe à Gisèle qui en fait de même. Elles sont dégueulasses.
Gisèle me demande de me relever.
– Ma salope de mère ne s’est pas essuyé le cul, alors à toi de jouer : corvée de nettoyage.
Je lèche donc les traces de merde restées autour de l’anus. Ma foi, c’est pas mauvais.
Mon nettoyage terminée, je me relève, les deux femmes complètement déchainées après avoir léché et reléché l’étron, se roulent des patins d’enfer bien gluants. Je vous dis, elles sont dégueulasses.
– Je peux regarder sa queue ? Demande Bénédicte
Et sans attendre l’autorisation de sa fille, elle me fait tomber ma jupe. La voilà qui me tripote la bite, elle a les mains très délicates, je me remets à bander !
– Tu vois, moi j’arrive à le faire bander
– Ça ne m’étonne pas t’es qu’une salope !
Elles rient.
– Tu me le prêtes ?
– Je te le prêterais mais pas aujourd’hui !
– Je croyais que tu ne voulais pas le garder ?
– Je ne le garderais pas des années !
Me voici avec une érection tout à fait correcte, Bénédicte me branle carrément maintenant !
– Elle n’est pas si mal sa bite, bien bandée !
– Dans le genre modèle réduit, ouais !
– Tu exagères, moi elle me plait bien !
Et de façon tout à fait inattendue, Bénédicte me fourre ma queue dans sa bouche !
– Maman ! Je t’interdis !
– Gisèle ! Tu n’as rien à m’interdire !
– Si ! Je suis chez moi !
Mais c’est qu’elles sont sérieuses, elles vont s’engueuler, et c’est moi le sujet de discorde ! C’est la meilleure de la journée ! Bénédicte se lève, et se dirige vers la porte
– Bon à un de ces jours, et merci pour l’accueil !
– Arrête maman ! On ne va pas s’engueuler !
L’autre ne répond pas et disparaît de l’appartement.
– Mais, c’est pas vrai ! La voilà fâchée maintenant, et tout cela à cause de cette pédale ! Casse-toi sale connard et cette fois n’essaye pas de te raccrocher ou sinon je t’écrabouille !
C’est profondément injuste, je ne suis pour rien dans cette embrouille absurde ! Je crois qu’effectivement je suis resté un peu trop longtemps dans cette maison ! Je me précipite afin de prendre mon sac dans ma chambre, et vais pour sortir. Ça y est, je suis dans l’escalier. J’ai oublié de réclamer mes gages de la journée. Pour le principe parce que je n’attends pas après. Je descends ! Quelqu’un monte, j’ai eu le temps de mettre une culotte, tout va bien, mais ne voilà-t-il pas que je me retrouve nez à nez avec Bénédicte !
– Faut que je remonte, j’ai oublié mon briquet, c’est que j’y tiens à celui-là ! Mais tu te barres ? Elle t’a viré ?
– Oui ! Mais de toute façon j’en ai marre !
– Tu as tort, il faut les connaître, ils n’étaient pas si méchants que ça avec Huguette…
– C’est fait, c’est fait !
– Non ! Remonte avec moi !
J’accepte sans trop savoir pourquoi. Elle sonne.
– Qu’est-ce que vous foutez là tous les deux ?
– Je te propose un deal. Tu me rends mon briquet et je te rends ta soubrette !
– N’importe quoi ! Bon rentrez tous les deux, on va essayer d’y voir clair !
Bénédicte se rassoit, tranquillement, pas gênée, et elle s’adresse à moi :
– Et toi la petite tapette, tu vas nous refaire du café, mais cette fois tu vas le faire un peu moins fort, d’accord ?
– C’est toi qui donnes des ordres, maintenant !
– Oui parce que si tu n’en veux pas je l’embauche ! Et sur-le-champ en plus ! Et quand il va revenir je veux le sucer. Sauf si tu t’y opposes formellement, auquel cas, je n’insisterais pas !
Ce n’est pas possible, la bagarre va recommencer, je ne suis qu’un objet ridicule, un gadget, qui ne sait même pas faire le café.
Je prends les premières tasses pour les rapporter en cuisine.
– J’enlève ça ? Demandais-je en désignant l’étron resté sur la table.
– Laisse-le là ! Il est très joli cet étron !
Faut surtout pas les contrarier.
Quand je revins dans le salon, les deux femmes étaient très débraillées et tendrement enlacées. Elles avaient utilisé l’étron pour se badigeonner le corps. Gisèle léchait goulûment le téton droit de sa mère, qui bouche ouverte et yeux mi-clos se tripotait la chatte. La vision de ce chaud spectacle me provoqua une érection immédiate et non dissimulable. Je me raclais la gorge.
– Sers les tasses, laisses-nous et va finir ce que tu faisais ! M’ordonna sèchement Gisèle exposant un instant à mon regard de vicelarde ses seins lourds, laiteux et recouvert de matière.
Il me restait effectivement quelques vitres à finir ! Quelques heures après j’ai retrouvé le café refroidi. Elles ne l’avaient pas bu. Et Bénédicte n’était plus là pour me faire une pipe…
Je suis resté une semaine chez mes employeurs, le vendredi j’ai demandé mes gages ne sachant pas si je reviendrais mais ne leur en parlais pas.
Il s’est passé pas mal de choses pendant cette semaine, je vous les raconterais peut-être si vous êtes sages.
En fait, je voulais vivre une expérience, pourquoi la prolonger, j’ai vécu ce que je voulais vivre, j’ai eu mon compte de châtiments corporels et d’humiliations diverses. Inutile de s’éterniser dans cette relation où tout risque de devenir répétition, et puis je ne suis pas soumis 24 heures sur 24 non plus !.
J’ai maintenant un autre fantasme, rencontrer d’autres travestis comme moi et faire des tas de petites cochonneries ensemble.
Fin
Au départ ce texte était une commande d’un travesti qui d’ailleurs se faisait appeler Martine et qui voulait que je rédige ses fantasmes. J’ai pondu deux épisodes, qui lui ont plu, puis un troisième qui ne lui a pas convenu. On a donc arrêté là. Je n’ai pas conservé le chapitre trois et j’ai remanié les chapitres 1 et 2. Bisous
Edvard Stokien 2000
eddy@vassilia.net