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Le Décolleté de Chantal

Par Nicolas Solovionni

 

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Thémes abordés :  domination soft, exhibition, masturbation

      Ce jour-là je prends le train comme d’habitude, il y a devant moi une femme entre 35 et 45 ans, vêtue d’une robe bleue légèrement décolletée, légèrement mais tout de même assez pour que je n’y sois pas insensible, son visage est agréable et elle dégage une certaine sensualité.

Comme je ne peux pas passer tout mon temps à la mater, je me mets à bouquiner un livre de micro-informatique. Et là voici qui m’interpelle

– Excusez-moi mais je vois que vous lisez un bouquin sur Excel, j’ai justement un problème au boulot avec ce logiciel et bla-bla-bla…

Elle m’explique le problème. Il est simple et j’ai la solution, je vais pour lui dire mais au dernier moment, je me ravise.

– Pas facile comme ça sans voir l’écran, vous travaillez dans quel coin ?

Elle m’explique qu’elle travaille dans le 9ème (donc à 5 minutes de mon lieu à moi) Le midi elle peut rester seule au bureau. Aubaine ! J’y vais donc le midi, je résous son problème, elle me pose plein d’autres questions, du coup pas le temps de bouffer, parallèlement j’essaie de la draguer, mais rien n’y fait, je finis par me lasser.

Elle me dit ne pas savoir comment me remercier (moi je sais !), et me propose finalement un verre au bistrot à 18 heures. Je reprends espoir !

18 heures donc, j’attends un peu. Elle est en retard je commence à désespérer, quand la voilà qui arrive, mais elle n’est pas seule, elle est avec une copine, (pas mal du tout la copine, une vingtaine d’année, mais la question n’est pas la !)

Combien de fois ne m’as-t-on pas fait le coup de la copine quand j’étais plus jeune…

Il y a quelques années une nénette à qui j’avais donné rencard s’est même pointée avec… sa mère (mais comme il ne s’est rien passé je n’ai pas d’autre souvenir de cette anecdote)

Revenons à nos moutons, à défaut de drague ça ma permit de mieux connaître cette femme qui se révèle intelligente, instruite et pleine d’idées intéressantes. Ce qui la rend encore plus désirable.

J’attends donc la fin de ce coup à boire, me disant que peut-être nous pourrions repartir tous les deux par la Gare du Nord, si toutefois la copine n’habite pas dans le coin.

Effectivement, nous nous rendîmes Gare du Nord, c’est à deux pas… et là : gros problèmes de train. Je lui propose d’attendre, mais Madame est pressée, elle me propose un taxi à deux. Ce que nous fîmes. Pas facile de draguer dans un taxi. Elle descend la première. Je ne pense donc jamais la revoir. Notre rencontre étant le fruit d’une circonstance : j’étais en retard le matin et elle exceptionnellement très en avance.

Rideau fin du 1er acte.

Deux jours après : coup de fil au bureau, je ne reconnais pas. :

– Mais si c’est Chantal Machin-chose !

Je lui avais donné mon numéro, par contre je ne connaissais pas encore son prénom…

Elle me dit qu’elle manque cruellement de formation en micro-informatique et me demande si par hasard je ne donnerais pas des cours… Je saute sur l’occasion et on se met d’accord. Je lui dispenserais donc des cours à son bureau tous les lundis à 18 h.

Les deux premiers cours se sont déroulés sans problèmes, mes quelques tentatives de dragues tombant à l’eau, je n’insistai pas, cela dit, au cours de ces séances les rapports se sont nettement détendus et décontractés, je plaisante sans problème avec elle mais pas moyen d’aller plus loin.

Donc nous sommes hier soir le 2 octobre, elle a remis sa belle robe bleue, je lui apprends certaines manips La voilà qui butte sur un truc qui ne m’a pas l’air difficile mais qu’elle n’arrive pas à assimiler. Je lui refais faire plusieurs fois. Et puis comme ça histoire de dire quelque chose :

– Si vous vous trompez encore je vais vous donner un gage ! »
– Un gage c’est vrai ? Une fessée ? Demande-t-elle levant du coup son petit nez mutin vers moi.
– Ce serait une excellente idée, ça une bonne fessée !
– Arrêtez, j’adore ça !

…et de me raconter qu’avec son ancien patron elle y avait droit souvent.

– Uniquement la fessée ou d’autres choses aussi ?
– Plein d’autres choses, mais celles-là ne me manquent pas du tout.

Ça a le mérite d’être clair, et elle reprend :

– Allez ! Vous en mourrez d’envie ! Mais la fessée pas autre chose !

Elle se plie en deux sur son bureau, je lui soulève sa robe, elle a une ravissante petite culotte à pois rouges. Je commence à la fesser par-dessus la culotte et je suis vite en pleine érection, ensuite, je la lui enlève, puis, je continue, elle me réclame des coups de plus en plus fort, je suis troublé et terriblement excité bien que cela ne soit pas mon truc, (j’inverserais bien les rôles, mais je n’ai même pas pensé à lui demander)

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Elle, elle n’en peut plus elle pousse des petits gémissements de plaisir, mais il lui en faut encore plus et elle me demande de continuer avec ma ceinture. J’hésite mais elle insiste. Je lui ai fait un cul tout rouge. Je prends une petite pause. Et lui fait quelques caresses, mon doigt atteint son petit trou et très délicatement je commence à pénétrer, mais elle me stoppe vite et se retourne.

Je bafouille :

– Excusez-moi mais je suis terriblement excité ! Soyez gentille montrez-moi votre poitrine, je ne vous toucherais pas, je vais juste me masturber devant vous !

Je craignais un refus, mais la voilà pratiquement à poil en train de se masturber à son tour, j’ai joui très vite, elle après. On doit se revoir.

Rideau

Y-aura-t-il une suite ? On verra bien !

En fait, il n’y en eut pas, cette première histoire n’a que le défaut d’être authentique, et si pour moi le souvenir est fort, il est évident que les lecteurs n’y trouveront sans doute pas leur compte. Dans mes récits suivants, j’ai fait appel à beaucoup plus d’imaginaire et je crois que c’est une bonne chose.

Nicolas Solovionni © 2000

nikosolo@hotmail.com

 

 

Mer 1 mar 2000 Aucun commentaire